Quand une photographie est-elle considérée comme contraire à l’éthique ?
- Consentement :Ne pas obtenir le consentement éclairé du sujet ou de son tuteur avant de prendre une photo franche peut être contraire à l'éthique, surtout lorsque l'image est publiée sans le consentement du sujet.
- Invasion de la vie privée :Prendre des photos dans un cadre privé ou capturer des scènes qui violent les attentes raisonnables d'un sujet en matière de vie privée sans son consentement peut être problématique sur le plan éthique.
- Exploitation :Les photographies prises ou utilisées pour exploiter des individus ou des groupes vulnérables, ou l'utilisation d'images de manière à perpétuer des stéréotypes négatifs peuvent être contraires à l'éthique.
- Fausse déclaration ou tromperie :Utiliser des photographies pour déformer ou tromper délibérément le spectateur sur des personnes, des situations ou des événements est considéré comme contraire à l'éthique.
- Publication nuisible :Publier des photographies qui causent un préjudice ou une détresse émotionnelle au sujet sans un intérêt public impérieux peut être contraire à l'éthique, surtout si le but est le sensationnalisme ou le profit personnel.
- Violation des droits :Prendre ou utiliser des photos qui portent atteinte aux droits de propriété intellectuelle, aux droits d'auteur ou à d'autres droits légaux du photographe, du sujet ou du détenteur des droits d'auteur est contraire à l'éthique.
La photographie éthique implique de respecter la vie privée des personnes, d'obtenir leur consentement lorsque cela est nécessaire, d'éviter toute exploitation et d'utiliser les photographies de manière responsable et honnête.